Voix de cartoon, physique d’allumette perpétuellement en surchauffe, Willy Rovelli se sert de sa gestuelle pour apostropher le public et soutenir ses thèses sur ses origines modestes en HLM…
Il nous parle aussi de sa famille Italienne, ses complexes, son désir d’enfant et son nouvel appartement. Agrémenté d’une revue de presse, ce one man show “encore plus grand” où l’autodérision est le “mètre” mot, ne laissera pas le public indemne. Willy ne triche pas, et ça se voit !
Photos : Christine Manganaro